Sortie du club à
Villefort
Week end de
l’ascension 2016
Ce
sont 12 adhérents du clubs qui ont participé à la traditionnelle sortie de 4
jours. Cette année, nous avons dirigés nos waders jusqu’à Villefort en Lozère.
Le temps a été très ensoleillé ce qui aurait pu permettre
des pêches intéressantes, mais c’était sans compter sur le fort refroidissement
de la semaine précédente qui a vu de
grosses chutes de neige sur les monts ardéchois, tout proches. De plus, un fort
vent a perturbé grandement la pêche, bloquant les éclosions et refroidissant la
température de l’air et de l’eau. Seule la pêche en nymphe pouvait encore
apporter un peu de plaisir , mais les eaux basses et très claires n’apportaient
pas la facilité.
Les rivières pêchées :
l’Altier dont la vallée est difficilement accessible surtout pour quelques
papis en prise avec l’arthrose. L’eau basse et claire, un peu de monde et la
pêche fut décevante.
L’Allier à Langogne , dans le
no-kill, cela fut le même problème , un fort vent de face , des eaux claires, et il a fallu pêcher aval
en noyée. Peu de poissons pris et encore pas très grosses.
Le Chapeauroux , sur des plateaux,
coule dans des méandres de chalk stream , et un fond de tourbe qui doit, en de
bonnes conditions, offrir des pêches d’anthologie (du moins on peut l’espérer)
, mais le vent encore lui en avait décidé autrement.
Le Lot dans le no kill Mende , a,
lui, apporté quelques satisfactions à ceux qui l’ont fréquenté. De même que sur
la partie basse sur Chanac, qui a permis quelques prises, si on avait la chance
de passer le premier.
Le camping où nous avons passé le
séjour, « les châtaigniers » , nous a
permis de découvrir des chalets absolument parfaits , confortables,
fonctionnels, un personnel serviable. Il est situé au bord du lac de Villefort
et de nombreux pêcheurs au carnassier étaient réunis là.
De bonnes grillades , quelques
chansons , un peu d’apéro et d’amitiés tels étaient les ingrédients qui ont
permis la réussite du séjour que l’on aurait aimé plus pêchant.
On verra pour l’an prochain mais
là c’est une autre histoire.
Claude